Passinho 2015-2025
Quelle émotion de vivre en immersion avec cette bande de garçons des favelas de Rio de Janeiro !
Âgés de 18 à 24 ans, certains déjà pères de famille, ils sont là, au milieu de la « Mata Atlantica », forêt atlantique où les singes sont plus nombreux que les humains.
Eux qui ne connaissent que le béton et l'asphalte de la mégalopole Carioca. Eux qui pour survivre n'avait que le choix de trafiquer ou de danser.
Moi fraichement débarqué de France j'étais charger par Rodrigo Vieira Chorégraphe de photographier les répétitions d'un spectacle en préparation.
Au Brésil, comme partout, il y a le hip hop mais il y a aussi le « passinho » Une danse urbaine créer dans les favelas et qui a été reconnu comme patrimoine culturel de la ville de Rio de Janeiro en 2018.
Sous mes yeux se déroulait La création et les répétitions d'un spectacle très lié à leur propres vies.
A la fin de chaque filage mes yeux mouillés étaient pour eux une reconnaissance plus forte forte que des applaudissements.
Quel plaisir, pour moi, d'aller piocher dans ces vieux clichés de 2015 pour présenté ce travail sous une forme plus dépouillée et adapté a cette exposition « Foto-Graffism »
Quelle émotion de vivre en immersion avec cette bande de garçons des favelas de Rio de Janeiro !
Agés de 18 à 24 ans, certains déjà pères de famille, ils sont là, au milieu de la « Mata Atlantica », forêt atlantique où les singes sont plus nombreux que les humains.
Eux qui ne connaissent que le béton et l'asphalte de la mégalopole Carioca. Eux qui pour survivre n'avait que le choix de trafiquer ou de danser.
Moi, fraichement débarqué de France, j'étais chargé par Rodrigo Vieira, le chorégraphe, de photographier les répétitions d'un spectacle en préparation.
Au Brésil, comme partout, il y a le hip hop, mais il y a aussi le « passinho », une danse urbaine créée dans les favelas, reconnue comme patrimoine culturel de la ville de Rio de Janeiro en 2018.
Sous mes yeux se déroulait la création et les répétitions d'un spectacle très lié à leurs propres vies.
A la fin de chaque filage, mes yeux mouillés étaient pour eux une reconnaissance plus forte que des applaudissements.
Quel plaisir pour moi d'aller piocher dans mes vieux clichés de 2015 pour présenter ce travail sous une forme plus dépouillée et adaptée à la thématique de cette exposition : « Foto-Graffism »